L’angoisse, l’anxiété, l’inquiétude sont des émotions puissantes qui nous paralysent et en même temps nous poussent à faire des actions néfastes pour nous!
Pour en prendre conscience, examinons attentivement les circonstances, les événements qui nous font nous inquiéter, nous angoisser et qui créent l’anxiété.
En faisant cette démarche, je remarque que je passe- je passais!- beaucoup de temps à m' inquiéter pour des riens: vaisselle pas faite, le mauvais temps, …la crise mondiale, une remarque, une contrariété pour ceci ou cela, le sèche- linge en panne ( ça, ce n’est pas une écolo’s attitude! cela reste un de mes paradoxes! Nobody is perfect! )...à gamberger, à faire des prédictions du style "ça n'arrive qu'à moi" ou " C'est toujours comme cela!", "Je suis comme cela" ou "Elle est comme ceci..."
Ces sentiments, ces émotions nous empoissonnent la vie! LA CRAINTE, L’ANGOISSE, L’INQUIETUDE, LA JALOUSIE, LA COLERE ATTIRENT LES CHOSES ET LES EVENEMENTS QUE NOUS CRAIGNONS! Beaucoup de thérapeutes,
sages ... le prouvent, et j’en suis convaincue. C’est alors la réaction de celui chez qui la mauvaise" prédiction" arrive qui affirme presque guilleret: «Je vous l’avais bien dit!»
Alors comment cela se fait-il ? Cette émotion, quelle qu’elle soit- doit se «nourrir». Elle devient
omniprésente, la vie devient difficile. Ces «émotifs» se concentrent sur leur devenir incertain. Lorsque nous adoptons cette attitude négative, l’énergie ambiante de ces pensées négatives
influence négativement notre vie. Plus on se fait du souci, plus on trouve des motifs à s’inquiéter! Toute pensée est un aimant qui attire ce que nous craignons, c’est le début d’un
engrenage.
Est-il possible de sortir de cet engrenage? Assuremment oui! Il nous faut reconnaitre que nous sommes responsables de nos pensées, de ces embûches et que NOUS SEUL, pouvons les faire disparaitre pour de bon! Il nous faut reconnaitre aussi que les éléments sont la suite logique de notre façon de penser.
QUE FAIRE? Penser plus «correctement» en liant nos actions à nos pensées positives .
Facile à dire me direz-vous? Oui, et c’est le premier pas qui compte. Nous sommes responsable de nos
pensées! Et tant qu'il ne sera pas fait, rien ne changera. Il n’y a pas de solution magique, il faut être prêt à travailler pour réussir! Pas d'excuse -bateau, du style, "Je n'y
arriverais jamais", "J'ai toujours été comme cela", " Maman était comme cela" .... Ce n'est pas une fatalité, ni héréditaire!
Un exemple? Si vous étiez en prison, et que vous vouliez vous en délivrer, il vous faudrait scier les barreaux,
creuser un tunnel…. . C’est pareil pour se libérer de l’inquiétude! Vous avez le choix: NE RIEN FAIRE OU AGIR. Je me suis moi-même élaboré ces barrières si hautes seulement par la pensée, alors
je peux atteindre des sommets faramineux en pensant positivement!
LE PREMIER PAS - comme celui de Claude Michel SCHONBERG link consiste à bouger. Car le réflexe est de se murer, se mettre au lit,
attendre, … comme le lapin dans les phares d‘une voiture … Cela ne le sauve pas! au contraire. Et d'observer ce qui se passe dans notre corps: les tensions diverses. Juste observer, ne pas
juger.
ET respirer : amener de l’oxygène au cerveau,
décompresser (lorsque l’on est inquiet la respiration est superficielle) et surtout ne pas se fustiger… ces réactions de stress sont normales!
LE SECOND nécessite de faire le choix de quitter nos émotions négatives
en les remplaçant, en les acceptant sans les bouter au dehors , sans violence. Et je remarque que petit à petit, cela ne se fait pas en un jour- la pensée négative se fait de
plus en plus petite et la positive prend de plus en plus d'assurance..